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Maxime, Caroline et Benjamin sont trois cousins et entrepreneurs à s’être lancés dans l’aventure Ô’Poisson. Loin d’être un hasard mais plutôt une évidence, ce projet est la continuité d’une histoire familiale qui a débuté il y a plus de 50 ans.
Mécanicien marin de métier, à la suite d’un problème de santé, Gaston décide de se tourner vers le poisson.
A la place du café de sa grand-mère, avec son épouse Andrée, il ouvre sa première poissonnerie sur le Port de l’Ile d’Yeu.
Il sillonne également les bourgs de l’Ile au volant de son triporteur pour vendre les arrivages du jour.


Mimi, cousine germaine de Gaston, prend le large vers la région nantaise avec son mari Jean Claude Orsonneau, ancien marin.
Ils ouvrent leur première poissonnière dans le quartier des Thébaudières.
Le succès grandit pour les deux cousins, Mimi et Gaston. Ils ont le sens du commerce et les clients sont enthousiastes devant la qualité des produits.
Pour répondre à la demande des estivants de plus en plus nombreux, Gaston ouvre, une seconde poissonnerie au bourg de St Sauveur toujours sur l’Ile.


Les bottes aux pieds depuis tout petit, leurs enfants respectifs les épaulent au quotidien dans les boutiques.
Ils décident, chacun à leur tour, de les rejoindre dans leur aventure.
La « Maison Hennequin » est née.
Pascal Hennequin, l’aîné, achète le poisson sur le Port de l’Ile d’Yeu et de Vendée.
Yannick et Marie-Jo Hennequin le vendent dans les poissonneries de l’Ile et Christine, fille de Mimi, dans sa poissonnerie à Nantes avec son mari Yves.
Bernard Hennequin le cuisine et le transforme avec une activité de conserverie sur l’Ile d’Yeu.


Baignés eux aussi depuis leur enfance dans le poisson, Maxime (fils de Christine), Caroline (fille de Pascal), Benjamin (fils de Marie-Jo) veulent faire perdurer l’histoire en la racontant différemment.
Les mœurs évoluent. Le e-commerce bat son plein. Les clients sont à la recherche de bons produits avec une réelle transparence, du service, et de la flexibilité.
Les trois cousins ont pris conscience de ces changements, la poissonnerie 2.0 « Ô’Poisson » est née.
Basée jusqu’alors sur la région nantaise, l’équipe Ô’Poisson ressent le besoin de se rapprocher des pêcheurs et de la mer pour être encore plus «en direct» et ainsi gagner en fraîcheur.
En janvier, fermeture des locaux à Nantes et emménagement sur le Port de pêche des Sables d’Olonne, sous la Criée.
